La voisine en question était celle du quatrième au numéro 2, qui venait de tomber amoureuse de son psychologue pendant la thérapie qu'elle suivait pour apprendre à communiquer avec ses enfants. Jusque-là rien d'anormal. Mais, en réalité, elle n'avait pas encore d'enfants. "L'idée, c'est de ne rien remettre au lendemain", disait-elle. Son mari tente de l'en dissuader, mais elle - plus têtue, on ne fait pas - débuta une thérapie qui consistait à interpréter des dessins qu'apportaient les enfants d'autres patients. Bien sûr, la voisine ne pouvait pas apporter les siens et ils n'allaient pas non plus analyser les dessins du docteur.