Je comprends le courage, la fidélité à une vision, la volonté de survivre. La droiture, le soin des faibles et des malades, tout cela je le comprends aussi bien que la plupart des gens. Mais je n'ai jamais compris qu'on veuille vénérer un dieu qui imposait avec une autorité absolue un point de vue et une parole uniques, qui dispensait une justice brutale sans se soucier d'examiner les preuves, ou un dieu qui maintenait la supériorité des hommes sur les femmes. p.443