Dans les vestiaires, ç’a d’abord été plusieurs heures sans pouvoir rien faire d’autre que trembler des pieds à la tête, colère et honte mêlées, en pleurs. Jacky a préféré attendre, sans me faire aucun reproche. Il m’a seulement dit au bout d’un moment, en m’épongeant le visage : Il a le génie tout court et le génie qui se travaille, tout comme il y a le talent tout court et le talent qui se travaille. Le talent qui se travaille peut surpasser le génie tout court…mais plus rarement le génie qui se travaille.