Philippe sait qu’il a perdu certaines capacités, tant physiques que neurologiques. Mais il en a aussi développé de nouvelles. Une aptitude à l’auto analyse, à l’introspection. Des choses pour lesquelles il n’avait pas de temps dans sa vie d’avant. Et puis, il a compris l’importance de la parole. Pas celle qui se contente de discuter du beau ou du mauvais temps, ou de raconter ses activités. Celle qui parle profond et vrai.