Les termes – histoire orale, historien oral ou historien oraliste – restent de fait peu utilisés, y compris par les chercheurs utilisant eux-mêmes les sources orales, tant dans leurs travaux scientifiques que dans les revues ou les plateformes de ressources. De cette invisibilité terminologique, faut-il déduire l’absence du recours aux témoignages oraux en histoire contemporaine en France et conclure à une (triste) exception française.