Moi qui suis une femme, je mesure combien la race humaine est capable d'être bestiale et il me faudra beaucoup de temps, beaucoup d'oubli pour, un jour, fonder une famille et avoir un enfant. J'ai peur des hommes. J'ai vu trop de sang, trop de morts.
Et puis, j'ai peur que mon enfant ressemble à Jules : qu'il souffre ; et qu'il fasse souffrir ceux qui l'aiment.