Avant d'appuyer sur le bouton de validation, je respirai bien fort, quelque peu sidéré et effrayé à l’idée de m'en remettre à un moteur de recherche pour me dire qui j'étais. J'étais donc si seul avant pour que la seule manière de connaître mon identité soit de lire ce qui se disait de moi sur la toile ? Ou était-ce si effrayant que personne ne veuille me le dire en face ? (p68)