Comment un homme pouvait-il espérer trouver la paix et le contentement, même après avoir franchi le Rubicon de l’ordination et avoir eu suffisamment de chance pour épouser le flirt le plus convoité de dix régiments successifs, lorsqu’il ne lui était pas permis de s’adonner au sommeil sans avoir été au préalable grondé pendant une heure, ni de tenir compte d’aucun signal pour s’éveiller, hormis celui de la langue de son épouse ?