Quand les bois reverdissent au mois de mai, le Loriot revient d'Afrique et c'est sa phrase flûtée, insouciante et gaie qui nous annonce son retour : didelio... dideluo...
Cet oiseau des feuillages passe sa vie dans les hauteurs des arbres ; le mâle y cache son plumage jaune d'or et noir qui semble trop brillant sous nos climats. La planche est de Richter.