Mais, hélas ! “vivre avilit “, avait dit son maître Hermogène, dont le monocle semblait un lac, ou un cristal de gel, chargé de cacher à tous les regards la mélancolie désespérée de ses yeux. Vivre avilit, parce que cela réduit chaque jour les possibilités d’évasion, et il vient un moment où le prisonnier du plus heureux destin, s’étant vu fermer l’une après l’autre toutes les issues, piétine sur place dans un petit cercle dérisoire…
(Rencontre dans la nuit).