On ne saurait imputer au Dr Gachet la responsabilité du suicide de Vincent, pas plus qu'aux psychiatres actuels celui de leurs mélancoliques. Mais il avait le devoir de s'interroger sur ses tendances suicidaires. Qu'a-t-il fait pour les contrarier ? Avait-il créé ces liens qui libèrent la parole et évitent le passage à l'acte ?