Certaines estampes en couleurs comportaient une retouche discrète au pinceau, d'autres une collaboration plus large de l'aquarelliste, telle, par exemple, la série des pièces galantes, dessinées, croit-on, par Huet et publiées chez Bonnet, d'autres enfin, comme la Leçon de clavecin de Freudeberg, sont coloriées entièrement à la main et la gravure se réduit à un léger travail d'aquatinte ou même à un simple trait.