Ces gravures s'inscrivent dans le lignage de l'art médiéval et de sa longue tradition qui, des enluminures jusqu'à l'architecture, des marges des manuscrits jusqu'aux frises des colonnes, se plait à déployer des cohortes de grotesques sous la forme de monstres tout à la fois étranges et bouffons. (...) François Desprez avait eu également pour source les œuvres de Bruegel l'Ancien et de Jérôme Bosch.