Si la remarque pointe quelque chose de tout à fait juste, reste que le fondement même de patrimoine réside dans le fait de la transmission. Or l’environnement a été qualifié comme “patrimonial” à partir du moment où on a pris conscience que sa dégradation, accidentelle ou ordinaire (la pollution), temporaire ou irréversible, faisait surgir le problème de sa transmission, en la mettant en question