Près du Cinquantenaire, nous devisons avec une Finlandaise qui travaille pour une des innombrables associations qui gravitent autour de l'Europe. Elle suit des cours de français une fois par semaine. Afin de mieux participer à la vie de la cité ? "Non, corrige t-elle, pour comprendre les sous-titres au cinéma, discuter avec la concierge ou les co-propriétaires". Pour le reste, "tout le monde connaît l'anglais à Bruxelles" clame t-elle. Il est vrai que beaucoup de francophones, par suivisme ou démission, embraient directement vers la langue de Shakespeare.