[…] Pour moi, je persiste à penser que tout se ramène à ceci : tant qu’il y a eu des Allemagnes, nous nous y sommes promenés ; lorsqu’une Allemagne est née enfin, ce fut pour nous fini de rire. Aujourd’hui qu’il y en a deux, nous pouvons de nouveau dormir, au moins d’un œil. Quand les deux morceaux seront recollés, il faudra redevenir ce lièvre qui dort les yeux ouverts.