« Pour les Ligonnès, il y a eu énormément de fleurs, de peluches, de bougies devant la maison. Eux… très peu. » Entre les lignes, l’impression gênante qu’ils avaient mérité leur sort me parcourt. Étrange sensation. Les Troadec menaient la vie qu’ils s’étaient choisie. Dans l’ombre, sans fard ni artifices, simple et manifestement pas malheureuse, probablement comme des millions de familles.