Ne perdons jamais de vue que la Pucelle a toujours mis l'obéissance à ses voix en avant, et qu'elle a eu toutes les peines du monde à persuader certains décideurs politiques et responsables religieux qu'elle était effectivement animée par la foi et non par de sordides intérêts, et qu'elle n'avait par ailleurs rien d'une illuminée ou d'une personne déséquilibrée-- ou, pire encore, d'une sorcière voire d'une diablesse déguisée en ange.