Aussitôt, du ciel, descend l’oiseau noir. Il plane un moment au-dessus de Zanzibar, puis se dirige vers la grande porte de la ville. Il se pose juste devant le museau du chat, écroulé en plein soleil :
- Coucou, minet ! Alors, c’est toi, la terreur de Zanzibar ? Quelle misère ! Tu f’rais pas peur à un cafard !
Le chat envoie sa patte droite. Mais l’oiseau esquive d’un bond sur le côté :
- Ben, dis donc, matou ! C’est tout ce que tu sais faire ? Tu s’rais pas un peu mou ? Gros minet gras du derrière !