Sophie, une fois le rideau tiré, laisse errer ses pensées sur un océan imaginaire. Elles se libèrent comme des virgules d’oiseaux dans la voûte bleue, sans un fil de nuage à la patte. Aussi légères que des herbes sèches dans un champ grenat, le vent les emporte alors à travers le temps du rêve...
[9 - Même la gomme ça laisse des traces]