C'est pour ça qu'un jour je te l'ai affirmé : « tu es un enfant de l'amour », lorsque tu étais venu chercher refuge chez moi. Je t'ai caressé la tête en te disant cela, tu devais avoir dix ans, et j'ai senti comme cette phrase te faisait du bien, comme c'était peut-être une des meilleures choses qu'on ne t'ait jamais confiées.