Elle ferma les yeux et se representa les soldats sans vie, entassés au centre de la salle. Seulement, personne ne pouvait tuer par le seul pouvoir de son imagination qu'el qu'un qui desirait vivre, et lorsque la fillette rouvrit les paupieres, le chaos regnait toujours dans la piece. Des pions blanc, des tours, des cavaliers succombaient sous les coups de l'ennemi. Leur cris de souffrance lui emplissaient les oreilles.