Parfois je bénis l’accident qui, en me rendant aveugle, a affiné mes autres sens. Il m’a ouvert un monde de sons et d’odeurs auquel je suis seul à accéder. Oui, je l’en remercie… parfois. Pas là.
Je sens ses côtés brisées… sa colonne en miettes… J’entends son cœur hésiter… s’arrêter.