"Dans le commerce, faut s'intéresser à la mort de la personne. C'est ce qui donne sa dimension humaine à la limonade. Et puis, à partir de la huitième chope, le vivant aime encore assez bien discuter du mort. Le sentiment se dévoile. A ce moment-là, faut pouvoir alimenter la conversation. Dans la boisson, c'est la tristesse qui assure le débit."