Depuis sa réintégration récente, le lieutenant Veyrenc avait déjà énoncé quelques dizaines de vers. Mais plus personne n'y prêtait attention, comme s'il s'agissait d'un élément sonore ordinaire, tels les ronflements de Mercadet ou les miaulements du chat, qui participait de manière inévitable au bruit de fond de la Brigade.