(...) c'est vrai, j'étais une gamine de quatorze ans qui ne vivait que pour elle, ses dentelles et son portable.
Mais c'est fini.
Moi, ce monde-là, pardon mais il me fait gerber, je ne trouve pas d'autre mot.
Et ce qui est merveilleux, c'est que je ne me sens plus condamnée à pleurer sur notre impuissance, car nous avons le Vertov.