Associée à la ferveur du public, la grandeur de la musique de Haendel toucha profondément Haydn qui "avouait qu'il en fut si frappé qu'il se remit à l'étude comme s'il n'eût rien su jusqu'à ce moment. Il médita chaque note et puisa dans ces partitions très savantes la quintessence du vrai grandiose musical."