Cependant le gouvernement des abstractions ne fait pas que demeurer dans la bulle de son régime d’affections modifiées. Il s’efforce, assez logiquement il faut bien le reconnaître, d’y faire entrer les gouvernés eux-mêmes - quel meilleur moyen en effet de s’assurer de la normalisation des gouvernés que de leur faire partager les affections des gouvernants ?