Dans le bilan historique du capitalisme, il restera donc qu’il était sur le point de détruire l’humanité en l’homme, de lui rendre la planète inhabitable, mais aussi qu’il nous laisse l’état de très haut développement de ses forces productives et, partant, nous permet d’envisager de l’abandonner dans des conditions matérielles plus favorables que jamais – merci, au revoir.