Gobineau, resté seul à Téhéran, n’a pas le temps de trouver le temps long. Il se sent « plus persan que les Persans ».
Il se lève à six heures, se couche à dix, ne boit que de l’eau, mange peu. La journée, il lit le Coran avec l’aide d’un mollah, s’entoure d’érudits et de philosophes avec lesquels il étudie les doctrines secrètes du soufisme. Plongé dans la culture persane, il en étudie les moindres replis.