Le seul qui reste, c'est Pierucci. Celui qui servira de bouc émissaire. Les procureurs pourront alors se vanter d'avoir eu la tête de l'organisation, et prétendre à une avantageuse promotion. Cela explique aussi pourquoi ils veulent me faire porter le chapeau dans un nouveau dossier, le contrat Bahr II (une chaudière à charbon construite en inde). Un marché conclu alors que je n'étais pourtant plus en poste depuis deux ans... et pour lequel Alstom n'a même pas plaidé coupable ! C'est dégueulasse. Il n'y a pas d'autres mots. Où est la morale dans tout cela ?