Studer connaissait les hommes de ce genre, qui quand ils sont soûls aiment bien battre leur femme ; il devait y avoir derrière cela un besoin particulier de puissance, car d’ordinaire ces tyrans sont aussi de pauvres bougres. Écrasés par leurs supérieurs, quoi d’étonnant à ce qu’ils battent leur femme pour leur montrer combien ils sont forts ?