L’antidote du paupérisme, c’est le travail, le travail, le travail. Celui qui ne travaille pas ne doit pas manger non plus. Même pour le plus vieux, même pour le plus faible se trouve toujours une tâche qu’il est capable d’effectuer… Ainsi, il ne se sent pas inutile et a l’impression de mériter son repas, de gagner son argent de poche comme un salaire et non pas comme une aumône…