- Tu as beau être enfin à Tokyo, tu ne penses qu'à ton village.
- Pourtant, cette ville me coupe vraiment le souffle, comme on dit. D'ailleurs, elle m'épuise. Mais j'ai tellement insisté pour venir, je n'ai pas le droit de me plaindre.
- Soyo, je crois que tu as réalisé, que tu aimes ta campagne. C'est une belle leçon. Bon... on visite la mairie de Tokyo et on rentre.