Tous autant que nous sommes, nous sommes imprégnés d'un passé de tolérance zéro à l'erreur. Certes, en plusieurs décennies, les concepts éducatifs ont beaucoup changé. Le doigt accusateur accompagné d'un déluge de récriminations a cédé la place aux explications pleines de bienveillance. Cela dit, la vieille honte héritée de nos ancêtres est encore profondément enkystée; il n'est pas aisé de la déloger, autant de notre mental que de notre coeur.
Que faire quand le perfectionnisme s'est envolé? Vous en faites moins, donc vous gagnez du temps. Cédez à l'enthousiasme, demandez-vous tout ce que cela vous laisse le temps de faire; de quoi nourrir à coup sûr vos envies de changement.
Pour apprécier le temps que l'on a pour soi, il faut en avoir conscience.
Essayez donc d'en faire moins. Passez intérieurement au temps partiel.
Le dialogue ouvre la voie à l'inattendu.