Cependant, Fermina Daza était encore à l'abris de la simple curiosité de l'amour, et la seule chose que lui inspirait Florentina Ariza était un peu de pitié parce qu'elle le croyait malade. Mais la tante lui expliqua qu'il fallait avoir beaucoup vécu pour connaître le tempérament véritable d'un homme et qu'elle était quant à elle convaincue que celui qui s'asseyait dans le parc pour les regarder passer ne pouvait qu'être malade d'amour.