L'Île au trésor et Le Comte de Monte-Cristo furent une drogue exquise pendant ces années de vaches maigres. Je les dévorais mot à mot, désirant savoir ce qui se passait à la ligne suivante et en même temps ne le désirant pas, afin de ne pas rompre le charme du récit. Grâce à eux comme aux Mille et Une Nuits, je n'ai jamais oublié qu'on ne devait lire que les livres qui nous obligent à les relire.