L'amour n'est qu'une tentative pour maîtriser son destin, et une illusion brève et naïve d'immortalité... Mais c'est peut-être ce qu'il nous est donné de meilleur à connaître, même s'il est aisé d'y reconnaître aussi l'œuvre lente de la mort. "Vouloir nous brûle et pouvoir nous détruit", notait déjà Balzac dans La peau de chagrin.