L'épisode vécu avec l'écrivain hongrois Giorgy Kovacs et son épouse Esther m'a fait réaliser, bien des années plus tard, mais avec une dureté qui me fait encore mal aujourd'hui, que les martyrs sont toujours du côté de l'esprit, les coupables, du côté de la force, et que l'Histoire demeure le seul juge.