Mais j’arrive à ma seconde nuit de noces, qui va jeter sur les événements de Vascoeuil et sur ceux qui devaient suivre une lumière que d’aucuns qualifieront de surnaturelle et que je suis bien obligé, hélas ! après ce que je sais et après ce que mes yeux ont vu, de déclarer la plus naturelle du monde. C’est, du moins, ce que j’affirme aujourd’hui, mais alors je naviguais en plein inconnu, et l’on verra jusqu’où il me fallut aller pour me rendre à l’évidence.