Mais ce sempiternel désir d'ailleurs et de nouveau ne peut aboutir qu'à la désillusion : on ne se débarrasse pas si facilement de sa carcasse, mortelle, imparfaite, incomplète. On ne peut qu'apprendre à l'aimer parce que notre incarnation est la condition du don : on donne la vie, on partage le pain, on fabrique un objet.