L’objectif n’est pas un simple exercice théorique, il est radicalement pratique : promouvoir, comme le propose l’anthropologue Philippe Descola, une « coexistence moins conflictuelle entre humains et non-humains, et tenter ainsi d’enrayer les effets dévastateurs de notre insouciance et de notre voracité sur un environnement global dont nous sommes au premier chef responsables ».