Lorsque j’ai entendu ce mot de consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j’ai compris qu’il pénétrait dans l’espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port du foulard, ou le métier de prostituée, s’entourait de principes politiques avérés, la liberté, la liberté de choisir, la liberté offerte par notre droit ; et la résistance, la capacité à dire non à un ordre injuste.