Sur ma peau, les regards des trois hommes, sans doute des commerciaux en voyage d’affaires, qui discutent de moins en moins âprement, au fur et à mesure que leurs yeux me déshabillent. J’ai l’habitude de me faire dépiauter couche après couche, surtout qu’aujourd’hui elles sont bien minces, je ne porte qu’une petite culotte de soie – j’ai fait l’impasse sur le soutien-gorge –, un débardeur très ajusté, une jupe qui m’arrive à mi-cuisses.