Il finit par être si obnubilé par ce problème qu’on le disait atteint de poincarite, trouble qui affecta nombre de braves mathématiciens du XXe siècle et qui se manifestait par un désir obsessionnel de prouver la conjecture de Poincaré, désir si puissant que celui qui en était affligé ne produirait guère de travaux utiles pendant des dizaines d’années.