Ce qu'il faut, et le plus vite possible, c'est un cadre politique cohérent qui fournisse un contrat de participation partagée - que ce soit au moyen de mesures volontaires ou, comme le demandent à présent nombre de militants, sous forme de taxe, de rationnement ou de dividende-, dans lequel les actions individuelles soient reconnues et récompensées, au même titre que les contributions tour aussi importantes des gouvernements, des entreprises et des compagnies exploitant les combustibles fossiles. Nous ne voulons pas le pouvoir de l'individu, mais celui du peuple.