Montrez-moi cet homme dans vos bras, ou aimez-moi, Thérèse ! Faute de cette solution, je n’en vois qu’une troisième, c’est que je me tue pour en finir… C’est lâche et stupide, cette menace banale et rabattue par tous les amants désespérés ; mais est-ce ma faute s’il y a des désespoirs qui font jeter le même cri à tous ceux qui les subissent, et suis-je fou parce que j’arrive à être un homme comme les autres ?