Mais quand tu seras seul, quand tu auras besoin de prier et de pleurer, tu penseras à ton George, à ton vrai camarade, à ton infirmière, à ton ami, à quelque chose de mieux que tout cela ; car le sentiment qui nous unit s'est formé de tant de choses, qu'il ne peut se comparer à aucun autre.
Le monde n'y comprendra jamais rien, tant mieux, nous nous aimerons, et nous nous moquerons de lui. p.31