Que mon souvenir n’empoisonne aucune des jouissances de ta vie, mais ne laisse pas ces jouissances détruire et mépriser mon souvenir. Sois heureux, sois aimé. Comment ne le serais-tu pas ? Mais garde-moi dans un petit coin secret de ton coeur, et descends-y dans tes jours de tristesse pour y trouver une consolation, ou un encouragement. (George Sand)