Le photographe George Steinmetz parcourt les océans avec un but : montrer le mal que la surpêche fait à notre planète.
#Short #shorts #cultureprime
_____________
Retrouvez-nous sur :
Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture
Twitter : https://twitter.com/franceculture
Instagram : https://www.instagram.com/franceculture
TikTok : https://www.tiktok.com/@franceculture
Et abonnez-vous à la newsletter Culture Prime : https://www.cultureprime.fr/
Nul ne connaissait mieux le Sahara que Théodore Monod, un naturaliste brillant qui l'avait sillonné de long en large. A 95 ans, il travaillait encore sur le terrain et insistait pour porter lui-même son équipage.
Les déserts du monde ont chacun leur spécificité, et pourtant, ils présentent de nombreux points communs : les dunes de sable, les lacs salés, l'érosion éolienne, les ruines de civilisations perdues et des formes tenaces de faune ou de flore bien adaptées. Ces traits communs prennent chaque fois des formes différentes, toujours intéressantes et étrangement belles.
Il ne restait plus grand-chose du village d' Opia. Le 4 janvier 1999, environ la moitié de ses quatre-vingt cinq maisons à toit de chaume avaient été réduites en cendres. Des soldats nigérians avaient déferlé sur ce hameau miséreux du delta du Niger, à bord de bateaux et d'hélicoptères sous contrat avec la compagnie américaine Chevron.
J'étais venu en Afrique autant pour découvrir un monde dont j'ignorais tout que pour échapper au monde dont j'étais issu.
Cette partie désolée du littoral namibien s'appelle la côte des squelettes. Elle doit son nom tant aux ossements de baleines et d'otaries échouées sur la plage qu'aux centaines de navires commerciaux qui ont fait naufrage dans un épais brouillard.
La plupart des clichés aériens présents dans ce livre ont été pris en paramoteur, l'aéronef motorisé le plus léger au monde.